Elle existe depuis 1930, originalement créer par le danois Emil Vodder et consiste à activer la circulation de la lymphe pour permettre au corps d’évacuer les déchets métaboliques et les cellules mortes plus rapidement ce qui permet de diminuer l’œdème, de détoxifier l’organisme et de laisser de l’espace pour de nouveaux nutriments et d’eau permettant d’aider la guérison de la zone touchée et favoriser la cicatrisation de la lymphe. Elle consiste à faire des pressions circulaires et répétitives ce qui permet de stimuler certains récepteurs du système nerveux de manière à bloquer les signaux de douleurs.

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Dr Albert Leduc découle des travaux du Dr Vodder et qui a repris la méthode de Vodder entre 1970 et 1980, mais qui se différencie par ses manœuvres. Cette méthode cible plus précisément les zones du corps qui recquièrent une intervention. Même base, mouvement doux / lent, mais avec beaucoup plus de pompages et moins de massage. Seuls les gestes avec une justification anatomique ont été conservés de la manœuvre d’origine. La méthode Leduc est utilisé plus particulièrement en soins esthétiques tels que la prévention des vergetures et de la cellulite, ainsi que pour favoriser la cicatrisation à la suite d’une chirurgie en améliorant la circulation et en diminuant la rétention d’eau.

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Le drainage lymphatique peut être utilisé contre le stress, les migraines, l’insomnie, la fibromyalgie, la sinusite, la paralysie de Bell, l’insuffisance veineuse, les jambes lourdes, l’enflure chez la femme enceinte. Une blessure comme une entorse, une foulure ou une fracture, le drainage va aider en diminuant l’œdème ce qui vous aidera à retrouver l’amplitude de vos mouvements.

Suite à une chirurgie esthétique ou une chirurgie orthopédique il permettra une diminution marquée de l’œdème, une guérison et circulation plus rapide et sans complication, une réduction de la douleur et une réduction des hématomes. À noter qu'une séance peut débuter dès le lendemain de la chirurgie.

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Un traitement dure en général 60 minutes tout dépendant de la zone à traiter, pour les deux premières semaines le patient doit avoir de deux à trois traitements et par la suite les traitements diminueront avec l’évolution de la guérison. Les contre-indications sont les tumeurs, le cancer, insuffisance cardiaque, fièvre, infection aigue, phlébite, thrombose.